La technologie au Japon
Le Japon est un pays
très connu pour sa nourriture raffiné rempli de saveur, pour sa culture et sa
religion ancestrale, et pour c’est manga rempli d’histoire amusante et
passionnante.
Mais le saviez-vous ?
Le Japon est le pays le plus avancé technologiquement ! Vous pourrez y trouver
toute sorte d’objet technologique : de la petite voiture télécommandée aux
robots hyper réalistes, des simples toilettes au toilettes ultra technologique,
le Japon est rempli de ces objets et de plus encore, et nous allons en
découvrir certain ensemble.
Thomas Mouret
Les
toilettes connectées
![Résultat de recherche d'images pour "washlet toilet"](https://ae01.alicdn.com/kf/HTB1eOhERVXXXXX4XVXXq6xXFXXXB/Eco-Wc-Intelligent-commode-Enti-rement-Int-gr-syst-me-Bidet-Salle-De-Bains-washlet-closestool.jpg_640x640.jpg)
On recense trois grandes
sortes de toilettes au Japon :
●
les occidentales (洋式 yoshiki) ainsi que les urinoirs
chez les hommes ;
●
les traditionnelles (和式 washiki ou "squat toilets" en anglais) proches
des toilettes à la turque ;
●
et les "futuristes"
ou "high-tech" (ウォシュレット washlet) bardées d'options.
Les toilettes dont je
vais vous parlez sont la toilette washlet. Ce sont des toilettes
toutes droit sorti du futur. Les washlet ont bien sûr besoin
d’électricité afin de fonctionner, contrairement aux toilettes ordinaires, la
pièce intègre une prise électrique pour le branchement du washlet.
Il existe deux types de design pour le washlet:
● Les washlets intégrant les
boutons de commande sur un accoudoir ou bras
●
Les washlets avec panneau mural de commande.
Comment utiliser les
toilettes connectées ?
Après avoir fait vos
besoins, vous devez actionner sur un bouton (voir le panneau de commande), un
jet d’eau se mettra en action afin de vous nettoyer, l’eau ne rentre jamais
dans le corps. Le jet d’eau peut être réglé en température et en pression,
certains modèles de toilettes offrants des jets d’eau massant. L’utilisation de
l’eau peut chez certains utilisateurs être remplacés par le papier mais
généralement les deux sont utilisés. Puis il y a le séchage, cette fonction
devient de plus en plus commune, la ventilation est comprise entre 40° et 60°.
Après le jet d’eau, on peut utiliser la lunette chauffante, il s’agit aussi
d’une fonction répandue, comme pour le séchage, nous pouvons aussi régler la
température qui est comprise entre 30° et 40°. Il y a aussi d’autres fonctions
moins utilisées mais existantes comme le désodorisant à l’ozone qui permet de
chasser rapidement les mauvaises odeurs, les bruit: on peut régler le volume
des bruits de fond, ou pour des modèles de luxes mettre des séries de sons, de
musiques, une climatisation est intégrée lors des périodes de canicule et la
lunette des toilettes peut être fluorescente dans le noire.
Pour en savoir plus: cliquez ici
Pour en savoir plus: cliquez ici
Liliane Lin
Les
robots japonais
Le nom d’Hiroshi Ishiguro ne vous dit rien ? Il s’agit d’un
roboticien japonais, directeur d’une entreprise de l’entreprise Intelligent Robotics Laboratory
(Laboratoire de robotique intelligente). Cette entreprise confectionne des
robots très réaliste, au point de les confondre avec des vrais humains. L’une
de leur création remarquable est l'actroïde :
Je suis sûr que vous
êtes devant vos écrans en vous demandant si cette personne est vraiment un
robot. En effet, il s’agit d’un robot ultra réaliste capable de faire n’importe
quelles expressions du visage à la perfection et elle peut bouger comme un
humain. Elle ne peut cependant pas courir car un robot c’est très lourd, donc
cela demande beaucoup de puissance pour faire de grandes enjambées.
Revenons à Hiroshi
Ishiguro :
Hiroshi se trouve à gauche de l’image, et à
droite… se trouve son frère jumeau ?! Attendez… est-ce un frère jumeau ou un
robot ? Eh oui, vous l’aurez sans doute deviné, Hiroshi s’est fait construire
un double de lui ! Il est aussi réaliste que l’actroïde, mais il est le
portrait craché de son créateur.
Vous pouvez toujours aller visiter le site
officiel de l’enseigne :
et qui sait ? Dans le
futur, les robots prendront un jour notre place sur terre ! :-O
Timour Yildiz
Un
hôtel connecté
Le tout premier hôtel
connecté a ouvert des portes le 17 juillet dans un parc d’attraction à Sasebo,
dans le Sud du Japon. Il est composé à l’accueil d’une actroid, c’est-à-dire un
android ressemblant fortement à un humain et est assisté par plusieurs robots
notamment Néo, un robot de compagnie français
L’hôtel
est aussi doté d’un robot bagagiste sous forme d’un bras articulé qui dépose
les bagages et fait aussi office de robot coffre-fort. L’accès aux chambres se
fait par reconnaissance faciale. Les chambres sont équipées de tablettes
offrant la possibilité de commander les repas ou petits-déjeuners ainsi que
d’un robot, appelé Tuly, qui peut éteindre ou allumer la lumière. Un hôtel
presque complètement autonome pour une nuit aux alentours de 66€. Pourquoi
presque ? Parce que les robots ne sont pas encore capables de tout faire
eux-mêmes. Exemple : les robots de cet hôtel ne sont pas encore capables de
surveiller l’hôtel via des caméras de surveillance… Mais ça reste le premier
hôtel connecté. Malheureusement, comme tout pionnier en un domaine, l’hôtel
n’est pas encore fonctionnel. La discussion avec le robot de l’accueil par exemple
se limite à bonjour, merci de réserver via les bornes à droite… Les robots ne
sont pas encore capables de répondre à des questions difficiles. De plus,
récemment, aux alentours du 17 janvier, l’hôtel a “licencié” 243 robots soit la
moitié de son effectif total à cause de beaucoup de clients qui se plaignaient
d’un certain chubi-chan, robot censé régler la température des chambres, qui
avait la fâcheuse tendance de réveiller les gens en plein sommeil car, en
ronflant, les clients l’activaient, et, croyant être sollicité et ne comprenant
pas, le robot demandait de répéter…ce qui faisait un assez gros boucan. Un
autre incident s’est produit : 2 robots bagagistes se sont rentré dedans… Après
4 ans d’existence, le patron avoue que les robots n’étaient pas adaptés aux
tâches qu’on leur a confiées. Mais l’équipe de l’hôtel n’abandonne pas pour
autant et réfléchit toujours à une autre génération de robots plus adaptés et
surtout plus récents. Cet hôtel montre que les robots ne fonctionnent pas tout
le temps très bien, et qu’ils ne sont pas des solutions à tous nos problèmes.
Lucas Teboul
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